HENOCH ET LE LIVRE CACHÉ : UNE RÉVÉLATION D’UN TEMPS AVANT LE TEMPS
Henoch et le Livre Caché : Une Révélation d’un Temps Avant le Temps
Bonjour Ami.e questionniste,
Aujourd’hui, je t’invite à plonger dans une histoire ancienne, celle d’Hénoch (ou Énoch), un patriarche qui aurait vécu bien avant Adam, et dont le nom, en hébreu, signifie “initié” ou “celui qui est consacré”. Son récit, consigné dans le Livre d’Hénoch, un texte écarté des écritures canoniques, semble étrangement familier à notre monde moderne. Ce n’est pas une simple légende : c’est une carte spirituelle, un code ancien qui nous pousse à questionner ce qu’on nous a raconté, ce qu’on nous a caché, et la nature même de notre réalité.
Une vision d’un monde corrompu
Hénoch décrit un monde plongé dans la corruption, marqué par le sang versé sans justice, des géants semant la violence, et des connaissances secrètes utilisées à mauvais escient. L’humanité, dit-il, s’est égarée, adorant de faux pouvoirs et s’éloignant de ses origines. Ces mots résonnent avec une clarté troublante : des systèmes de contrôle drapés de vertu, une technologie qui outrepasse la sagesse, une planète étouffée par l’excès, dirigée par des figures intouchables. Ne dirait-on pas notre époque ?
Une chronologie cyclique
Le Livre d’Hénoch ne donne pas de date précise pour une “fin des temps”. Il révèle plutôt un schéma, une chronologie qui se répète chaque fois que l’humanité oublie qui elle est. Cette apocalypse, loin d’être une pluie de feu, est un dévoilement, une révélation (du grec apokalypsis, qui signifie littéralement “lever le voile”). C’est le moment où l’on voit le système tel qu’il est : nu, fragile, fissuré. Et ce moment, on peut le sentir aujourd’hui. Partout, des gens s’éveillent, posent des questions interdites, ressentent un frémissement intérieur, une mémoire plus ancienne que leur propre nom.
La montée des justes
Hénoch parle d’une montée des justes, non pas un dogme religieux, mais une prise de conscience collective. Ce n’est pas un jugement venu d’en haut, mais une purification intérieure, où chacun fait face au poids de ses choix. Les “méchants” ne tombent pas sous une colère divine, mais parce que leurs structures, bâties sur des illusions, s’effondrent face à la vérité. Les “fidèles” ne sont pas parfaits : ce sont ceux qui osent voir, qui choisissent de se réveiller. La fin, ce n’est pas une destruction, c’est une combustion des illusions, et nous la vivons déjà.
Une mémoire interdite
Mais ce qui rend Hénoch si fascinant, c’est ce qu’il décrit au-delà du spirituel. Ses visions semblent dimensionnelles, presque technologiques. Il parle d’êtres descendant du ciel, des entités puissantes qui arrivent sur Terre, non par une naissance naturelle, but par une intervention coordonnée. Ils manipulent la biologie humaine, partagent des savoirs avancés : métallurgie, astronomie, conception d’armes, “sorcellerie”. Était-ce de la théologie ou une technologie avancée que les anciens ne pouvaient décrire qu’avec leur langage ? Les Nephilim, ces “géants” nés de l’union entre ces entités et les humaines, étaient-ils des mythes ou des hybrides célestes-humains ? Et si les “connaissances interdites” étaient l’équivalent d’une intelligence artificielle ou d’une manipulation génétique ?
Une mémoire universelle
Ce récit n’est pas isolé. Des civilisations anciennes – Sumériens avec les Anunnaki, Mayas, Égyptiens, Grecs – racontent des histoires similaires : des êtres venus du ciel, créateurs ou manipulateurs de l’humanité. Le Livre d’Hénoch semble être une version brute, directe, d’une mémoire commune. Il ne s’agit pas seulement de spiritualité, mais d’une remise en question de l’histoire, de la technologie, et même de la réalité elle-même. Sommes-nous le fruit d’une expérience cosmique ? Sommes-nous dans une simulation, où des lois universelles ont été altérées ?
Un code pour se préparer
Hénoch ne nous a pas laissé une prophétie pour nous effrayer, mais un code spirituel pour nous préparer. Pas à une fin, mais à une révélation. Elle commence dès que l’on cesse de voir le monde à travers le prisme des récits imposés – religions, médias, systèmes. Quand on lit son livre sans filtres, on y trouve des anges, des géants, un jugement divin, mais aussi des vérités interdites, dimensionnelles, peut-être même extraterrestres. C’est une invitation à voir la réalité telle qu’elle est, à se souvenir de qui nous sommes.
Rejoins l’éveil
Le monde se fissure, les narratifs s’effondrent, et la vérité, comme un feu, s’élève. Es-tu prêt·e à poser les questions qui dérangent ? À suivre les signes d’un bouleversement majeur ? Rejoins-moi sur Instagram @Pot_en_ciel_Bleu et sur mon journal de bord à www.potenciel-bleu.com pour explorer ces mystères et partager tes propres réflexions.
Avec amour,
Sarah 🌞
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